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 La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30]

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Deborah R. Green

Deborah R. Green

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MessageSujet: La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30]   La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30] EmptyDim 4 Oct - 18:52


    Lundi soir. Deborah s'installa dans un coin de la salle des professeurs, croisant ses jambes avec élégance, s'isolant volontairement de ses collègues. Sa réelle journée de cours n'avait lieu que le mercredi, cette année, mais elle avait d'ores et déjà pris en parti groupe certains élèves des années passées afin de reprendre les bases de la Vieille Magie afin d'être certaine que tous commencent la nouvelle année avec le niveau qui s'impose. Deborah avait instauré ce fonctionnement l'année passé : rassembler tous ses cours sur une seule et même journée afin de pouvoir venir en aide aux étudiants de cycle deux ayant besoin d'un coup de pouce supplémentaire. La Vieille Magie était une matière exigeante, que tous ne maîtriseraient pas parfaitement. Elle le savait, en avait conscience et le respectait, bien que cela l'agaçait profondément. Si elle pouvait aider, néanmoins, les élèves en ayant le plus besoin, Deobrah était heureuse de le faire. Comme quoi il était possible d'être une peau de vache mais de conserver néanmoins une conscience professionnelle.En fin de journée, donc, Deborah avait besoin de reprendre ses notes et de les mettre à jour afin d'évaluer en temps réel le niveau de chacun. Ange Leroy, le préfet de la maison de l'Air, avait fait de gros progrès. Elle hocha la tête, satisfaite. Ange était un jeune homme travailleur et volontaire, qui se donnait les moyens de réussir. Malgré tout, il avait eu du mal à se mettre au niveau l'année passée. Son tempérament renfermé n'aidait en aucun cas, mais Deborah ne voulait pas que ce détail n'entre en compte. Il était un élève comme les autres, qui se devait de progresser. Miss Delune, sa préfète, avait également progressé. Il avait fallu reprendre pas mal de base avec ces deux là, mais Deborah était plutôt satisfaite du résultat. Elle était un petit peu plus inquiète pour Miss LeGoff, de la Maison du Feu, qui avait un niveau fragile. La demoiselle en voulait mais elle était trop dispersée, pas assez concentrée. Deborah ne la ménageait pas, quitte à se montrer par instant dure avec l'étudiante. Elle espérait que ses insistances aideraient mais pour le moment, ce n'était pas le cas. Elle poussa un soupire, essuya soigneusement la pointe de sa plume avant de la ranger avec précaution. Un rapide coup d’œil à la montre enchantée qu'elle portait en pendentif lui indiqua qu'il était l'heure de se rendre dans sa salle commune afin de pousser ses troupes à se préparer pour le repas. Elle ne serait pas si présente dans les appartements des verts par la suite mais à la rentrée, elle tenait à être présente, ne serait-ce que pour ses plus jeunes recrues. Il n'était, après tout, pas question qu'ils ne se sentent perdus ! Elle se leva, salua rapidement les professeurs présents dans les parages avant de gagner le hall d'entrée. Sur la gauche, un escalier s'enfonçait vers les sous sols et, sans hésiter un seul instant, Deborah s'y engouffra. L'obscurité qui régnait dans les sous sols ne l'avait jamais inquiété. Lorsqu'elle était élève à Poudlard, tous les couloirs étaient lugubres ; une mince chandelle était accrochée aux murs de pierre humides et glacials. Ici, seuls les couloirs dans lesquels les élèves pouvaient se rendre étaient illuminés. Discrètement, certes, mais suffisamment pour qu'il ne soit pas possible de se perdre … sauf lorsque l'on était en première année, songea Deborah en voyant un jeune garçon, apeuré, tourner la tête dans tous les sens. Elle s'approcha, tapota doucement son épaule. « Un problème, mon cher ? Vous êtes dans la Maison de l'Eau, il me semble ?- Je … oui ? Je … suis perdu.- Je l'aurai deviné. Vous êtes sur le chemin de la Maison de la Terre. Retournez en arrière. Le prochain couloir illuminé qui sera sur votre gauche mène tout droit vers la porte de votre salle commune. Irwin, n'est-ce pas ?- … oui ?- Vous allez vous y faire, inutile de vous mettre dans tous vos états. Qu'attendez-vous pour filer ?! »Deborah avait mis ses mains sur les hanches et fronçait les sourcils. Elle lui avait donné le chemin, pourquoi était-il encore dans ses pattes ? Irwin Rossignol rougit violemment avant de détaler à toute allure, laissant s'envoler hors de son sac à dos mal refermé un rouleau de parchemin. Deborah haussa les épaules. Bah. Ce n'était pas ses affaires. Elle reprit sa route jusqu'à la salle commune de la Terre. Devant la nature morte, elle prononça le mot de passe et pénétra silencieusement dans la pièce, étrangement calme pour la fin de la journée. Des étudiants parlaient doucement dans leur coin, d'autres s'étaient déjà attelés à leurs devoirs. Deborah hocha la tête, satisfaite. Ses élèves lui faisait honneur – tout du moins pour le moment. Elle se contenta de faire les gros yeux à Astrid Muller qui, déjà, s'enhardissait à regarder par dessus l'épaule de son voisin de table pour recopier le contenu de son parchemin. « Miss Muller, si vous tenez à rester parmi nous cette année, je vous conseille de faire un petit peu plus attention à votre comportement ! Je ne le répéterai pas. Vous êtes prévenue. » La demoiselle releva les yeux sur sa professeur responsable, hocha vaguement la tête avant de soupirer un petit peu trop bruyamment au goût de Deborah. Pour qui se prenait cette pimbêche ?! Miss Muller était sans aucun doute son élève qu'elle appréciait le moins. Respirer, rester calme … Deborah ne réagit pas, se promettant que la prochaine fois, Miss Muller n'aurait pas la même chance et écoperait directement d'une retenue. Pour l'exemple. Elle se détourna, parcouru la salle du regard et … Oh ! Colombe Beauregard était là ! Miss Beauregard était une bonne élève, très impliquée au sein de la Maison de la Terre et qui la soutenait de son mieux, en lui rapportant très régulièrement de nouveaux points. Deborah appréciait hautement ce comportement – d'autant plus que Miss Beauregard aidait volontiers ses camarades. S'ils étaient tous comme elle, tout serait tellement plus facile … Deborah s'approcha, la salua d'un sourire. « Miss Beauregard ! Comment allez-vous ? J'espère que votre rentrée se déroule bien, pour le moment ? » Quoi, Colombe, sa chouchoute ?! Pfff ! N'importe quoi.
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Colombe L. Beauregard

Colombe L. Beauregard

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MessageSujet: Re: La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30]   La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30] EmptySam 10 Oct - 23:22

© made by Islande

Colombe s’était installée au calme du patio. La journée avait été riche en émotions et, une fois les cours terminés, elle avait eu besoin d’un instant de détente. Et, surtout, elle voulait faire le point sur ce premier jour à Beauxbâtons. Le retour avait été difficile, comme chaque année. Il n’était pas évident de retrouver le sérieux des salles de classe après deux longs mois de détente. Colombe avait passé ses vacances à courir dans tous les coins de la capitale, trainée par ses amies moldues dans des tas de soirées, d’expositions et d’évènements dont elles avaient entendu parler et auxquelles il fallait A.B.S.O.L.U.M.E.N.T qu’elles se trouvent. Durant ces deux mois, elle avait l’impression de reprendre sa vie là où elle l’avait laissée. Elle ne pouvait pas dire que le monde sorcier lui déplaisait, seulement, parfois, sa vie à Paris lui manquait. Elle faisait partie intégrante des deux mondes, désormais. Elle ne pourrait pas se passer du monde magique mais elle ne pourrait pas non plus tirer un trait définitif sur ses racines. Ainsi, qu’elle se trouve dans l’un ou l’autre monde, il lui manquait comme une partie d’elle. Mais, positive, elle préférait se dire que, où qu’elle se trouve, elle pouvait se sentir chez elle. Lorsqu’elle quitterait Beauxbâtons, elle savait d’ors et déjà qu’elle ferait tout son possible pour trouver un équilibre entre le monde moldu et la magie dans sa vie. Il fallait cependant un temps d’adaptation. Voilà deux mois que Colombe n’avait pas touché à sa baguette magique. Elle l’avait, dès son arrivée à Paris, planquée au fond de sa valise et ne l’avait ressortie que le matin même. Cette fichue baguette… Elle n’avait pas mis longtemps à faire des siennes. Le cours de défense contre les forces du mal, en début d’après-midi, avait tourné au drame quand Colombe avait mis le feu aux cheveux d’une de ses camarades. La pauvre fille avait, dans sa panique, projeté des étincelles un peu partout et c’est la salle entière qui avait bien failli flamber. Heureusement, quelqu’un avait eu la présence d’esprit d’utiliser un aguamenti et la nouvelle victime de l’incompétence de Colombe s’en était sortie trempée. Au moins n’était-elle pas carbonisée. Bon, d’accord, il était quelque peu gênant que le feu ait si bien attaqué sa chevelure qu’elle se retrouvait avec une coupe tout à fait hideuse désormais. Et personne n’avait pu faire repousser les cheveux brûlés. Colombe avait eu beau se confondre en excuse, elle avait le sentiment que sa camarade n’était pas prête de lui pardonner l’incident. D’autant plus que, l’année précédente, elle avait déjà fait les frais d’un accident magique provoqué par la rousse  … Le sort s’acharnait sur elle, que voulez-vous. Enfin, mis à part ce petit incident sans gravité, la journée avait été plutôt bonne. Colombe avait eu son premier cours sur l’alchimie. Ce qu’elle avait appris ne l’avait rendu que plus curieuse d’en savoir d’avantage. Ils avaient à peine effleuré la surface de cette science mystérieuse et Colombe attendait avec impatience la suite du programme. Quant au cours de botanique, personne ne leur avait encore demandé de mettre leurs mains dans la terre et cela suffisait amplement à Colombe. Elle jeta un coup d’œil sur sa montre. C’était une montre moldue, à l’origine, offerte par sa grand-mère maternelle avant son départ à Beauxbâtons. Seulement, Colombe avait été grandement embêtée quand, au début de sa deuxième année, les piles avaient rendu l’âme. C’était une septième année qui avait enchanté le petit objet afin qu’il fonctionne sans pile. Désormais magiques, les aiguilles dorées se mettaient à tourner à toute vitesse quand Colombe passait un moment particulièrement agréable et avaient tendances à s’arrêter lorsqu’elle s’ennuyait ferme, ce qui n’était pas toujours pratique. Pour l’heure, la montre fonctionnait de façon tout à fait banale. Elle fonctionnait de la façon dont on s’attendait à voir une montre fonctionner.

Il lui restait une heure avant le repas. Elle avait le temps de commencer le travail de recherche que le professeur d’alchimie lui avait demandé. Colombe s’extirpa du siège pourtant bien confortable dans lequel elle s’était plus ou moins avachie. Disons qu’elle était avachie gracieusement. Elle se rendit dans la salle commune, sortit des lunettes rouges de sa poche et s’installa sur une petite table. Les lieux étaient étrangement calmes. En ce premier jour, tout le monde suivaient ses résolutions à la lettre. Une nouvelle année, plus sérieuse, plus rigoureuse. C’est ce que tout le monde se disait, à la rentrée. Et puis les jours passaient et à mesure que les bons sentiments s’estompaient pour laisser place à la paresse et à la détente, la salle commune reprenait vie. Colombe aimait bien le calme. Elle aimait aussi l’agitation qui régnait parfois. Elle y participait, quelques fois mais elle aimait tout autant se poster dans un coin et observer ses camarades rire à gorge déployée ou débattre bruyamment sur un quelconque sujet. Après un bref regard attendri sur un groupe de premières années qui fronçaient les sourcils devant un schéma de métamorphose et un petit rire silencieux devant le tableau qu’offrait Astrid Muller dans sa tentative de recopiage rendue difficile par l’absence totale de coopération de son voisin, elle se mit à son tour au travail. Ses lunettes sur le bout du nez, elle commença à feuilleter le livre d’alchimie à la recherche d’informations susceptibles de répondre au sujet. Concentrée sur son travail, elle ne remarqua ni les minutes qui s’écoulaient, ni l’entrée, une heure plus tard, de sa directrice de maison.  D’ailleurs, lorsque sa voix résonna dans la pièce silencieuse pour réprimander Astrid, colombe sursauta violemment, faisant au passage tomber malencontreusement une goutte d’encre sur son parchemin. Elle reprit rapidement ses esprits en avisant la tâche qu’elle venait de faire. Si elle n’avait pas eu peur de faire exploser tout son travail, et la table avec, sans doute aurait-elle tenté de jeter un sortilège pour faire disparaitre cet espèce de truc noir totalement inesthétique. Cependant, le risque était trop grand. Résignée et soupirante, elle sortit un second parchemin, prête à recopier le fruit d’une heure de travail.

Cependant, elle n’eut pas le temps d’écrire quoi que ce soit. Le professeur Green s’était approchée d’elle et lui demandait des nouvelles de sa rentrée. Colombe appréciait sa directrice de maison. Sans doute était-ce du au fait que, restant sagement dans les rangs, Colombe n’avait jamais eu droit à un sermon ou quoi que ce soit s’en rapprochant de la part de Deborah Green. Cependant, elle craignait que ses maigres capacités en pratique magique ne modifient quelque peu les rapports cordiaux qu’elles entretenaient. Sa professeur serait-elle aussi prompte à la féliciter ou à prendre ainsi de ses nouvelles lorsqu’elle constaterait de ses yeux l’étendue du problème ? Colombe n’en savait rien et l’idée l’effrayait un peu. Elle aurait tellement aimé prouver à tout le monde qu’elle était capable, elle aussi, de se servir d’une baguette magique. Mais pour l’heure, toutes ses tentatives s’étaient soldées par un échec cuisant. Colombe se redressa sur son siège, remonta ses lunettes qui avaient un peu glissé et rendit son sourire à sa directrice.

‘’ Bonjour Professeur Green. Je vais bien merci, et vous ? Ma rentrée ? Oh, elle se passe très bien. Nous avons eu notre premier cours d’alchimie aujourd’hui. C’est une matière vraiment fascinante, quoique dangereuse sans aucun doute. Mais j’ai trouvé le cours passionnant. ‘’

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Deborah R. Green

Deborah R. Green

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MessageSujet: Re: La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30]   La maison de la Terre aurait-elle besoin d'une nouvelle préfète ?! [03.09 ; 18h30] EmptyJeu 22 Oct - 13:50

    Deborah s’autorisa un bref sourire. Colombe était une très bonne élève, appliquée, attentive, qui possédait un niveau par moment un petit peu faible sur certains cours, mais qui, Deborah le savait pour en avoir parlé avec elle, comptait bien faire de son mieux en Vieille Magie. Comme si cela ne suffisait pas, elle prenait à cœur d’accompagner les jeunes étudiants de la Maison de la Terre qui, en arrivant à Beauxbâtons, pouvaient se sentir quelque peu perdus et soutenait sa Maison comme peu de personnes savaient le faire ! Deborah savait parfaitement que pour son élève, il était, par exemple, hors de question de se montrer sur le stade de Quidditch si son équipe ne jouait pas. Nouveau sourire. La professeure était admirative ; concernant le Quidditch, elle-même aurait été parfaitement incapable de faire de même !

    En clair, Colombe était aux yeux de la professeure de Vieille Magie une élève comme on en faisait plus, une élève parfaite. Parfaitement ! Elle lui offrit un sourire amical, s’installa à ses côtés après avoir fait rapidement venir une chaise d’un coup de baguette magique.

    « Je vais très bien également, merci. » Elle hocha la tête, regarda un bref instant du côté de Miss Muller afin de s’assurer que cette dernière se tenait tranquille. C’était pour le moment le cas, mais Deborah se promit de ne pas la quitter du regard. Cette demoiselle était capable du pire ! « Bien que Miss Muller ne fasse pas preuve du comportement que j’apprécie grandement ce soir … Mais qu’importe, du moins pour le moment ! Je suis ravie d’apprendre que votre rentrée se déroule correctement. J’espère qu’il en est de même pour tous les étudiants de la Terre … Pour tous les étudiants, d’ailleurs. » Oui, bon. Deborah s’intéressait principalement au bien-être de ses étudiants, il fallait bien l’admettre. Les autres … Allons bon ! Fallait-il réellement qu’elle s’intéresse à la façon dont le moineau de l’eau, celui qu’elle avait croisé dans le couloir tout à l’heure, s’acclimatait à l’Académie de Beauxbâtons ? Diantre ! Il aurait fallu qu’elle le fasse, bien entendu, mais ce garçon avait bien un professeur responsable, que celui-ci s’en préoccupe !

    Deborah n’était pas compétitive pour rien. Elle soupira brièvement, croisa les jambes.

    « Ah, oui, l’Alchimie ! Alors comme cela vous avez eu cours avec Monsieur Florentin ! Il faut dire qu’il risque de se passer de nombreuses choses, cette année, d’un point de vue purement Alchimique ! » Elle faisait bien entendu allusion au discours d’André Aristide lors de la rentrée. Deborah se redressa légèrement, le regard brillant. Elle n’était pas d’accord quant à la façon dont la soirée de rentrée avait été organisée, certes, mais l’annonce de la possible nouvelle création d’une Pierre Philosophale l’enchantait, ni plus ni moins. L’Alchimie était une matière compliquée et, ainsi que Colombe venait de le rappeler, dangereuse, mais Ô combien passionnante ! « Cela dit, vous avez tout à fait raison. L’Alchimie peut se montrer parfaitement redoutable et il faut savoir en parler, et la pratiquer, bien sûr, avec intelligence et bienveillance. Je ne me fais guère de soucis pour vous, Colombe. J’espère que vous aurez l’occasion, en cours, d’échanger avec l’équipe de Monsieur Aristide qui travaille sur cette nouvelle Pierre Philosophale ! D’ailleurs, qu’avez-vous pensé de son discours, lors de la soirée de la rentrée ? »

    Non, elle n’allait pas embêter Colombe toute la soirée durant ! Mais peut être encore un petit peu. Il restait encore un poste de préfet disponible au sein de la Maison de la Terre et maintenant que Colombe était en cycle supérieur, Deborah comptait bien lui en reparler !
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